L'homme de 25 ans condamné à 16 ans de prison vit chez ses parents dans le centre du pays. Selon l'acte d'accusation il s'est fait passer pour une autre personne, a contacté une mineure de 13 ans via une application et a obtenu ainsi son adresse.

Plus tard, l'accusé est arrivé au domicile familial, alors que la mineure se trouvait seule  a fait irruption dans la maison l'a brutalement agressée et l'a violée.
La mineure a résisté à ses actions et a crié à l'aide, mais en vain. Avant de quitter l'appartement et de laisser la mineur meurtrie et ensanglantée, l'accusé a même menacé le mineur pour qu'il ne révèle pas ses actes.

L'acte d'accusation se lit comme suit : "C'est la réalisation du plus grand cauchemar de chaque jeune fille et de chaque parent d'une fille. L'accusé a fait irruption dans la maison où une mineure d'environ 13 ans séjournait seule, l'a ouvertement attaquée avec de véritables démonstrations de violence, l'a déshabillée de force, tout en ignorant manifestement ses cris et ses tentatives de résistance, et a fait ce qu'il voulait d'elle, comme si elle n'était qu'un objet , et finalement il a brutalement l'a violée tout en lui bloquant la bouche avec son autre main afin de la faire taire."

Il était également indiqué dans la sentence que "la mineure souffre àce jour  de troubles mentaux graves  et qui devraient l'accompagner pendant de nombreuses années.".

Par conséquent, après un examen complet des peines prononcées dans des affaires similaires au fil des ans, le tribunal, comme mentionné, a infligé à l'accusé une longue peine de prison de 16 ans, ainsi qu'une peine de prison avec sursis et une indemnisation pour la mineure

17 ans de prison pour un grand-père qui a violé ses petites-filles

Dans une autre condamnation prononcée par le même tribunal, une peine de 17 ans a été infligée à un grand-père qui a été reconnu coupable d'avoir commis des infractions sexuelles graves contre quatre de ses petites-filles mineures sur une longue période.

L'acte d'accusation dans lequel l'accusé a été reconnu coupable comprend 20 chefs d'accusation de violence domestique, de violence domestique indécente et de sodomie domestique. Selon ce qui y est détaillé, l'accusé a agressé sexuellement la plaignante principale de 2009 à 2021, à un grand nombre de reprises.

 À partir de 2014, l'accusé a commis des actes indécents avec une autre petite-fille et, dans deux incidents ciblés, il a commis des actes indécents avec deux autres petites-filles.

La peine stipule que "les années de formation de sa vie, les années au cours desquelles ses schémas de personnalité se sont développés et son identité s'est formée, la mineure a vécu sous le lourd fardeau des actions offensantes de l'accusé, qui ont laissé une marque profonde et douloureuse sur elle dans tous les domaines de la vie."

En ce qui concerne le cas, il a été noté qu'au cours de deux années entières, l'accusé a agressé à plusieurs reprises sa petite-fille, alors qu'elle était au début de la puberté.
L'agression impliquait un contact continu dans les zones intimes de son corps, contre son gré, et en ignorant ses protestations et ses objections. En outre, les actes sexuels étaient parfois accompagnés d'éléments supplémentaires d'exploitation et d'humiliation, et tous ces éléments ont causé de graves préjudices à la victime comme le détaille le rapport.

Après un examen complet des peines prononcées dans des affaires similaires au fil des ans, le tribunal a condamné l'accusé à une longue peine de prison de 17 ans, ainsi qu'à une peine avec sursis et à une indemnisation des victimes du crime d'un montant total de 225 000 NIS.

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