Claudine Douillet

Claudine Douillet parisienne et juive de naissance de parents profondément sionistes (un père sur l’Altaléna ça laisse des traces).

Fondatrice du premier magazine Juif sur le net, Alliance, en 1997, avant Google !
220 000 lecteurs uniques par mois à son actif.

En 1999 création Alliance-Hosting LLC , une "Web Agency » conceptrice de sites internet pour les entreprises et leur migration sur le net. Formation d’internet pour chefs d’entreprise.

Alliance-Hosting LLC a permis grâce ses moyens techniques la retransmission en directe des 4 radios juives de France 94.8 FM sur le net ,dés 2000, pendant 12 ans.

Experte en communication digitale avec Alliancefr.com, et radiophonique avec "Internet sans prise de tête" sur judaïques FM 94.8 depuis 2000, ma passion est née de la découverte, dés 1996, du plus important moyen de communication avec le monde, internet.

Mon expérience est le résultat de 22 années au service des entreprises désireuses de migrer sur le net et des médias.

Rendre réel ce monde virtuel c’est l’alliance du savoir faire et du faire savoir.

Les articles de Claudine Douillet

L'Iran a assez de matériau fissile pour faire une bombe selon l'armée américaine

L'Iran a suffisamment de matériaux fissiles pour fabriquer une bombe atomique, a déclaré dimanche sur CNN l'amiral Michael Mullen, chef d'état-major interarmées américain.

Interrogé pour savoir si Téhéran détenait assez de matériaux nucléaires pour construire une bombe atomique, l'amiral Mullen a répondu: "tout à fait franchement, nous pensons que oui".

"Et l'Iran doté d'une arme nucléaire, je le pense depuis longtemps, c'est une très mauvaise perspective pour la région et pour le monde", a-t-il dit sur la chaîne CNN.

Les déclarations de l'amiral Mullen constituent un pas supplémentaire dans un contexte d'inquiétudes de la part des Occidentaux sur la possibilité que Téhéran parvienne à enrichir suffisamment d'uranium pour fabriquer une bombe nucléaire.

La déclaration du chef d'état-major intervient après la publication d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui souligne que l'Iran a fait des avancées dans son processus d'enrichissement d'uranium.

Selon l'AIEA, l'Iran dispose désormais de 1.010 kilos d'uranium faiblement enrichi issus de son centre de traitement de Natanz. Si l'on en croit l'expert David Albright de l'institut ISIS à Washington cette quantité suffit, une fois convertie en uranium hautement enrichi, à fabriquer une bombe atomique.

En revanche, les experts de l'agence onusienne estiment que 1.700 kilos d'uranium faiblement enrichi sont nécessaires pour procéder, après l'avoir hautement enrichi, à la fabrication d'une arme atomique.

L'ambassadeur iranien auprès de l'AIEA, Ali Asghar Soltanieh, a, de son côté, insisté sur le fait que le site de Natanz, par ailleurs étroitement surveillé par l'AIEA, ne permettait pas de produire de l'uranium hautement enrichi.

Le conseil des gouverneurs de l'AIEA se réunit à partir de lundi à Vienne pour examiner à nouveau les dossiers nucléaires iranien et syrien.

la montre téléphone LG Touch Watch Phone G910

gwatch.jpgOrange est décidemment habitué à être parmi les pionniers en la matière, après l’iPhone dont il en a obtenu l’exclusivité, Orange vient d’annoncer, à l’occasion du Mobile World Congress qui se tient cette semaine à Barcelone, qu’il sera le premier opérateur à proposer en Europe la montre-téléphone LG Touch Watch Phone G910. Rapide présentation de cette innovation dévoilée lors de l’édition 2009 du salon CES de Las Vegas

La montre téléphone LG Touch Watch
Phone G910 est entièrement conçue avec une interface tactile. Pour
téléphone, elle dispose d’un casque Bluetooth et n’en est pas moins
dotée de quelques fonctions assez sympathiques : lecteur MP3, mode
haut-parleur … Elle fonctionne sans soucis sur les réseaux 3G.

La disponibilité de celle-ci devrait être pour le deuxième semestre et le prix n’est pour le moment pas communiqué.

source: blog du high tech

Deux roquettes tirées vers Israël

Deux roquettes ont été tirées aujourd'hui vers le sud d'Israël par des Palestiniens, depuis le nord de la bande de Gaza, sans faire de victime, a-t-on annoncé de sources militaires.

Une des roquettes a explosé dans un terrain vague au sud de la ville d'Ashkelon tandis que le deuxième engin a explosé dans la cour d'une maison en début de soirée dans la ville de Sdérot, provoquant quelques dégâts, a-t-on ajouté de mêmes sources.

Auparavant le premier ministre israélien sortant Ehud Olmert a déclaré qu'Israël entendait riposter "sévèrement" à la poursuite des tirs de roquettes contre son territoire à partir de la bande de Gaza.

Inculpation d'un "ennemi combattant" aux Etats-Unis

Ali al Marri, un agent présumé d'Al Qaïda détenu depuis cinq ans et demi comme "ennemi combattant" dans une prison militaire de Caroline du Sud, a été inculpé de conspiration et de soutien matériel au terrorisme par un tribunal de Peoria, dans l'Illinois.

Ceci le place désormais sous la juridiction du système judiciaire américain, indiquent des documents rendus publics vendredi. Chaque chef d'accusation est passible de 15 ans de prison.

La décision de faire juger aux Etats-Unis ce ressortissant qatari marque un tournant. L'administration Bush affirmait que le président avait le pouvoir de maintenir Marri en détention pour une durée illimitée sans l'inculper ou le juger.

Ali al Marri, qui a 43 ans, est le dernier des trois suspects de terrorisme à avoir été détenu sans inculpation aux Etats-Unis en tant qu'"ennemi combattant". Il a saisi la Cour suprême pour contester sa détention sans inculpation. Celle-ci ne rendra pas un avis avant plusieurs semaines.

Marri est soupçonné d'avoir été un 'agent dormant' chargé par Oussama ben Laden, chef d'Al Qaïda, et Khalid Sheik Mohammed, cerveau présumé des attentats du 11 septembre 2001, de saboter le système financier américain en piratant des ordinateurs de banques.

Il est arrivé aux Etats-Unis le 10 septembre 2001. Un membre d'Al Qaïda sous les verrous a dit qu'il était venu préparer une deuxième vague d'attentats après ceux du 11-Septembre. Disposant d'un permis de séjour aux Etats-Unis, il a été interpellé en décembre 2001 dans le cadre de l'enquête sur les attentats contre le World Trade Center à New York et le Pentagone.

Il a par la suite été inculpé dans l'Illinois, où il suivait des cours, pour une fraude à la carte de crédit et pour avoir fait de fausses déclarations au FBI. Il a plaidé non coupable.

Le gouvernement américain a abandonné ces poursuites en juin 2003 lorsque le président George Bush a désigné Marri comme ennemi combattant et qu'il a été incarcéré à la prison militaire de Charleston.

Deux autres personnes considérées comme des "ennemis combattants" ont été détenues aux Etats-Unis depuis les attentats du 11-Septembre.

En janvier 2006, le cas de Jose Padilla, détenu pendant trois ans à la prison de Charleston, a été transféré à un tribunal de Miami où il a par la suite été reconnu coupable d'avoir offert ses services à des terroristes.

Yaser Esam Hamdi, un autre ressortissant américain détenu pendant deux ans à Charleston, a été expulsé en Arabie saoudite lorsque la Cour suprême lui a reconnu le droit de contester sa détention, en 2004.

L'Inde mobilisée contre la vente aux enchères des lunettes de Gandhi

gandiafp.jpgL'Inde a entrepris des démarches pour empêcher la vente aux enchères, prévue en mars à New York, d'objets emblématiques ayant appartenu au Mahatma Gandhi, dont ses célèbres lunettes rondes, a rapporté vendredi l'agence indienne PTI.
"Tout est mis en oeuvre, en impliquant toutes les parties concernées, pour faire en sorte que ces objets ne soient pas vendus aux enchères", a déclaré le ministre de la Culture Ambika Soni cité par l'agence.

Un responsable du ministère de la Culture a indiqué que le gouvernement avait approché les différents propriétaires des biens personnels de Gandhi pour leur demander de lui en faire don, selon PTI.

Parmi les propriétaires figure la fille d'une nièce de Gandhi, qui a autorisé un collectionneur allemand à remettre les objets en question à la maison d'enchères Antiquorum Auctioneers.

Antiquorum avait annoncé que les lunettes, des sandales en cuir et la montre de gousset de Gandhi allaient être vendus aux enchères à New York le 5 mars.

Il existe deux autres options, a indiqué le responsable ministériel: soit demander que les objets soient retirés de la vente aux enchères afin que le gouvernement indien puisse les acheter, soit demander à des Indiens résidant aux Etats-Unis de les acheter et d'en faire don à l'Inde. Dans ce cas, ils seraient confiés à un musée.

Une commission gouvernementale spéciale étudie la marche à suivre pour que l'Inde puisse récupérer ces pièces. Le produit de leur vente a été estimé à entre 20.000 et 30.000 dollars.

L'arrière-petit-fils de Gandhi, Tushar Gandhi, qui a lancé un appel public pour récolter des fonds afin de pouvoir acheter les objets, a exprimé sa satisfaction concernant l'action du gouvernement.

"Mon objectif est que ces pièces dont l'Inde est le propriétaire légitime reviennent en Inde", a-t-il déclaré à l'AFP.

Tushar Gandhi, qui dirige la fondation Mahatma Gandhi à Bombay, avait estimé que la vente de ces objets représenterait une "grave insulte" à la mémoire du père de l'indépendance indienne. Des députés ont également réclamé leur restitution à l'Inde.

Ryanair pourrait faire payer l'accès aux toilettes en vol

La compagnie aérienne low cost Ryanair envisage de faire payer les passagers voulant utiliser les toilettes en vol, a annoncé son directeur général Michael O'Leary.

M. O'Leary a suscité à la fois l'indignation et l'ironie vendredi en laissant entendre que les passagers de sa compagnie pourraient à l'avenir être obligés d'insérer une pièce de monnaie pour accéder aux toilettes.

Selon lui, un accès payant aux toilettes pourrait permettre de faire de baisser le prix du billet. Mais personne, pas même ses propres collaborateurs, n'était en mesure de dire s'il a avancé cette proposition sérieusement ou s'il s'agissait d'un nouveau "coup de pub", le patron de Ryanair étant coutumier des déclarations fracassantes visant à faire parler de sa compagnie.

"Nous étudions la possibilité d'installer une fente d'introduction des pièces sur la porte des toilettes, de sorte que les passagers pourraient avoir à dépenser une livre (sterling, soit 1,12 euro, ndlr) pour se soulager à l'avenir", a-t-il expliqué.

Interrogé lors d'un entretien à BBC Television sur ce qui se passerait dans le cas où un passager aurait un besoin impérieux d'aller aux toilettes mais n'aurait pas les bonnes pièces, M. O'Leary a affirmé que cela n'arriverait pas. Et ce, alors que l'Irlande, où est basée sa compagnie, et de nombreux autres pays européens utilisent des euros et non des livres sterling. "Je ne pense pas que quelqu'un soit jamais monté à bord d'un avion Ryanair avec moins d'une livre", a-t-il soutenu.

Reste à savoir si le projet est vraiment sérieux. Le porte-parole de M. O'Leary, Stephen McNamara, a déclaré que son patron plaisantait souvent, mais il a aussi défendu l'idée de faire payer l'accès aux toilettes. "Il n'y a pas de projet dans l'immédiat visant à introduire" la mesure, a précisé M. McNamara.

Rochelle Turner, du magazine britannique de défense des consommateurs "Which?" souligne que Ryanair a souvent "fait passer les bénéfices avant le confort de ses clients", mais elle estime que ce nouveau projet pourrait être contreproductif pour la compagnie. "Faire payer l'accès aux toilettes pourrait conduire à une baisse du nombre de passagers qui achètent des boissons au prix fort à bord", explique-t-elle. "Ce serait bien fait pour Ryanair."

Tommy Broughan, porte-parole du Parti travailliste irlandais pour les transports, estime que le risque de voir les toilettes de Ryanair devenir payantes doit être pris aux sérieux.

Il souligne que la compagnie à bas prix a commencé le mois dernier à menacer les passagers d'une pénalité de 30 euros s'ils tentaient d'emmener en cabine un deuxième sac, quel que soit sa taille, et même s'il contient un article acheté dans une des boutiques hors taxe des aéroports.

"Lorsque Ryanair a introduit ce supplément de 30 euros, de nombreux passagers ont plaisanté en disant que la prochaine chose qu'on leur ferait payer c'est l'accès aux toilettes", note M. Broughan. "Il semble effectivement que ce soit le prochain supplément au programme de Ryanair.

Un bombardier russe près du Canada avant la visite d'Obama

Un bombardier russe de type Bear a été détecté la semaine dernière à la limite de l'espace aérien canadien, moins de 24 heures avant la visite à Ottawa du président américain Barack Obama, provoquant le décollage immédiat de deux F-18 canadiens, a déclaré vendredi le ministre canadien de la Défense, Peter MacKay.

L'appareil n'a pas pénétré dans l'espace aérien canadien mais les F-18 ont dû lui intimer l'ordre de rebrousser chemin, a indiqué MacKay lors d'une conférence de presse.

Il a ajouté que la Russie n'avait pas prévenu le Canada de l'arrivée de ce vol, ce qu'une source gouvernementale russe a démenti.

Selon cette source, le Canada avait été informé du vol avant son décollage.

"De sorte que les déclarations du ministère canadien de la Défense laissent pour le moins perplexe et ne peuvent être qualifiées que de farce", a dit cette source citée par l'agence Interfax.

La Canada a aussitôt démenti avoir été averti.

Obama a passé quelques heures le 19 février dans la capitale canadienne où il effectuait son premier déplacement à l'étranger depuis son entrée à la Maison blanche.

"Je ne vais pas accuser les Russes d'avoir fait ceci délibérément pendant la visite présidentielle, mais c'est une forte coïncidence à laquelle nous avons opposé, comme nous le faisons toujours, la présence de nos F-18", a dit McKay.

Selon lui, les Russes ont intensifié ces dernières années leurs vols de bombardiers au-dessus de l'Arctique canadien, une pratique qui datait de la Guerre froide.

"ACTIONS DE PLUS EN PLUS AGRESSIVES"

"Nous avons l'intention de démontrer notre souveraineté, notre capacité à protéger notre territoire, notre espace aérien et maritime et nos ressortissants arctiques, et c'est aussi vrai de nos ressources naturelles", a-t-il dit.

Le Premier ministre canadien, Stephen Harper, s'est ému du caractère "de plus en plus agressif" de la Russie.

"C'est une réelle source de préoccupation pour nous. J'ai exprimé à plusieurs reprises la profonde préoccupation de notre gouvernement face aux actions de plus en plus agressives des Russes dans le monde et dans notre espace aérien", a déclaré le chef du gouvernement d'Ottawa lors d'une conférence de presse dans la province du Saskatchewan.

"Nous défendrons notre espace aérien (...) nous riposterons à chaque fois que les Russes se livreront à toute sorte d'intrusion visant la souveraineté du Canada", a-t-il ajouté.

Peter MacKay n'a pas précisé exactement quand s'était produit l'incident, ou jusqu'à quelle distance l'appareil russe s'était approché de l'espace aérien canadien.

Le ministre canadien de la Défense s'exprimait après une réunion avec le général américain Gene Renuart, chef du Commandement nord-américain de Défense aérospatiale (Norad).

Les cinq pays baignés par les eaux arctiques -- Russie, Etats-Unis, Canada, Norvège et le Danemark via le Groenland -- revendiquent tous une partie de la région polaire, dont les scientifiques estiment qu'elle pourrait renfermer de grandes réserves en hydrocarbures.

Lundi, l'armée russe avait indiqué suivre de près le processus de militarisation du pourtour arctique.

Ottawa, qui a l'intention de construire un port en eau profonde dans la région, y a intensifié ses patrouilles en août et a annoncé qu'il renforcerait les déclarations requises des bateaux pénétrant dans les eaux canadiennes du Grand Nord.

Un ver bien vivant cause une panne d'ordinateur

Somerset, Angleterre - Un homme a pensé que son ordinateur était tombé en panne à cause d'un virus mais le problème était causé par un véritable ver.

Mark Taylor, 45 ans, a fait appel à un informaticien pour régler son problème d'ordinateur, et c'est ainsi que le ver de plus de 12 centimètres a été découvert. L'animal se serait introduit dans l'ordinateur par la grille d'aération, puis se serait enroulé autour du ventilateur interne, ce qui aurait causé la panne. Les chats de M. Taylor ont pour habitude de jouer avec les vers et de les ramener à l'intérieur de la maison. Celui-ci se serait ainsi faufilé dans un endroit inaccessible pour les chats, en l'occurence l'ordinateur.

L'évêque Williamson demande pardon. Le Vatican demande plus

Indésirable en Argentine, l'évêque Richard Williamson est rentré dans son pays d'origine, le Royaume-Uni.

Et là, il a pris sa plus belle plume pour envoyer une lettre au Vatican, relate Le Figaro.

Une lettre dans laquelle il écrit: "Je demande pardon devant Dieu à toutes les âmes qui se sont senties honnêtement scandalisées par ce que j'ai dit".

Il explique également que ses propos négationnistes étaient ceux d'un "non historien" forgés "il y a vingt ans, sur la base de preuves alors disponibles mais rarement exprimées en public", toujours selon Le Figaro. Il affirme aussi qu'il changera d'avis s'il trouve des "éléments" prouvant l'inverse de ce qu'il a dit...

Peut mieux faire

En bref, il regrette "la douleur" engendrée par ses propos... mais pas leur teneur même. C'est bien là que le bât blesse.

Le Vatican trouve ça insuffisant. Par la voix de son porte parole, Federico Lombardi, le Saint-siège fait savoir que l'Anglais n'a pas retiré ses déclarations "sans équivoque et publiquement". Le Vatican estime que c'est un préalable indispensable à une éventuelle réintegration aux fonctions épiscopales au sein de l'Eglise catholique.

Un toboggan à l'intérieur d'une société pour faciliter les déplacements des employés

Sheffield, Angleterre - Pour remonter le moral de ses employés et faciliter leurs déplacements, un toboggan, qui permet de descendre trois étages en sept secondes, a été intégré à un immeuble de bureaux.

Le complexe de bureaux Electric Works ouvre ses portes lundi et contient un mode unique de déplacement : un toboggan. Fait de plastique et d'acier, il mesure 26 mètres et permet de descendre de 12 mètres en sept secondes. Selon ses concepteurs, ce toboggan serait sans danger pour la santé et permettrait de travailler dans une ambiance plus détendue. Pour Deborah Walsh, la responsable du site, ce toboggan est "une idée brillante et nous aurons tout le temps des personnes qui arriveront ou partiront, alors il y aura toujours des nouveaux pour l'essayer."Pour les personnes moins aventureuses, l'option de prendre l'ascenseur ou les escaliers reste évidemment possible.